On connaissait le principe du bookcrossing : le fait d’abandonner un livre sur un banc, dans un espace public pour qu’il soit récupéré par une nouvelle personne qui le lira à son tour avant de le délaisser dans un autre endroit. Le concept s’est d’ailleurs décliné depuis sa création, et l’on voit aujourd’hui fleurir de plus en plus de boîtes à livres. Très intéressée par le phénomène, la maison d’édition Première Impression a décidé de surfer sur la vague afin de mettre la culture à portée de tous.
Le Livre Public se met à la page
Pour mettre le projet à exécution, elle s’est aidée de trois acteurs à savoir : l’imprimeur Laballery, un auteur pour chaque livre et un mécène qui finance la fabrication et la publication du livre et l’éditeur. Et le projet porte un nom : Le Livre Public.
Des auteurs à découvrir
Le premier numéro, édité par une mairie vendéenne mi-janvier n’est pas vendu en librairie et repose sur les bases du bookcrossing. Il s’agit du « Car bleu : vive les vacances à Saint-Hilaire de Riez ». Il en sera de même pour les prochains numéros. Au programme, pas de grands noms de la littérature mais des auteurs qui veulent justement se faire un nom ! De quoi faire de belles découvertes…
