La team presse des éditions Milady est unanime : le dernier roman de Jojo Moyes, alias « Le vent nous portera » est un véritable coup de cœur. Et pour cause : le nouvel ouvrage fait la part belle à la culture avec une histoire digne des plus grandes épopées américaines.
L’apport de la culture
Suite à ses fiançailles, Alice quitte son Angleterre natale pour rejoindre son mari dans une petite ville du Kentucky. Sur place, la jeune femme ne vivra pas le rêve américain mais subit plutôt la Grande Dépression. Au sein de la demeure familiale, l’enthousiasme des noces a laissé place à une ambiance morose. Tiraillé par son beau-père et son mari qui s’avère décevant, Alice se lie d’amitié avec Eleanor Roosevelt et l’aide à créer des bibliothèques ambulantes. Celles-ci sont destinées à lutter contre l’illettrisme. C’est à dos de cheval que les nouvelles bibliothécaires sillonnent les montagnes, bravant les dangers pour apporter des livres dans les zones les plus reculées.
Une future adaptation
Histoire inspirante pour les uns, intrigue prenante pour les autres, l’ouvrage de Jojo Moyes est un roman d’aventure inspiré de faits réels. Eleanor Roosevelt a en effet créé les fameuses bibliothèques ambulantes et ces dernières ont circulé entre de 1936 à 1943. Si l’on pourrait reprocher à l’auteure la lenteur pour planter le décor au démarrage, on ne peut que la féliciter pour son écriture talentueuse. Et bonne nouvelle pour les fans, « Le vent nous portera » sera adapté prochainement sur grand écran par Ol Parker.
Jojo Moyes 
