Avril 2001 : Théo, la quarantaine, sort de prison. La liberté est enfin à sa portée. Après un détour pour rendre « visite » à son frère, l’ancien détenu prend la route et tombe sur une chambre d’hôtes plus ou moins hostile. Souhaitant se reposer loin de son quotidien, il s’y installe pour quelques jours et en profite pour se balader dans les environs. Au cours d’une promenade, il tombe sur une ferme isolée, et un vieillard. Théo ne le sait pas encore, mais il s’apprête à vivre son pire cauchemar. Enfermé dans une cave, il va être à la merci de propriétaires peu commodes…
« Des noeuds d’acier » est le premier roman de Sandrine Collette. Il a valu à l’auteure le Grand Prix de Littérature Policière en 2013. Elle enchaînera l’année suivante avec « Un vent de cendres », puis « Six fourmis blanches » et enfin, cette année, avec « Il reste la poussière ».
La citation à retenir : « Je sais depuis longtemps que la souffrance épuise. Ce que je ne sais pas, c’est si on peut en mourir. »