Autofictions, journalisme narratif, exofictions… Autant de genres qui ont en commun un rapport singulier et assumé au réel. Pour autant, la fiction ou la poésie ne sont-elles pas en mesure de nous en dire tout autant sur notre monde qu’un essai ou un documentaire ? C’est tout l’objet du premier Festival Effractions, organisé par la Bibliothèque Publique d’Information, du 27 février au 1er mars, au Centre Pompidou, à Paris. Celui-ci fera la part belle aux auteurs qui font l’actualité littéraire et dont les œuvres donnent matière à penser le lien entre littérature et réel.
Un moment littéraire festif
Durant quatre jours, rencontres, ateliers, performances, tables rondes et lectures vont se succéder. Ont notamment répondu « présents » : Martin Page, Laurent Binet, Maylis de Kerangal et Olivia Rosenthal. En parallèle, des ateliers d’écriture et des actions hors les murs seront mis en place. Un moment privilégié pour tous les usagers, qu’ils soient simples curieux ou amateurs initiés.